Si Konrad Lorenz (lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine) est connu pour avoir passé sa vie à étudier les oies, les corneilles, les poissons et bien d’autres animaux encore, il ne s’est jamais désintéressé de l’homme pour autant. Bien au contraire, une réflexion sur l’humanité demeure toujours en arrière-plan de ses réflexions zoologiques et éthologiques. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il portait un regard inquiet sur la civilisation moderne.
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Débloquez ce podcast et
toute la bibliothèque IdéoChoc
Un concentré des meilleures idées en 25 min
Écoutez sans contrainte, où que vous soyez
Affûtez votre esprit avec des analyses percutantes