Dans un livre à charge, Le vrai coût du progressisme, Rechberg et Guerpel décrivent les mécanismes financiers à l’œuvre dans le monde progressiste.
Pour les auteurs, le progressisme est essentiellement une idéologie qui nie l’existence de toute loi naturelle s’imposant à l’homme. Ils le présentent ainsi comme un système de pensée qui ne voit en l’homme qu’une matière malléable et indifférenciée, qu’il conviendrait de débarrasser de ses spécificités culturelles afin d’en faire un citoyen parfait.
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