La thèse du Grand Remplacement est souvent réduite, dans le traitement médiatique, à une caricature informe et rabougrie. On la présente comme un complotisme, fondé sur l’idée qu’une élite organiserait volontairement le remplacement des populations. Or, cette lecture simpliste passe à côté de l’essentiel : il s’agit d’une vision du monde plus large, que l’auteur développe dans plusieurs ouvrages, et qui s’inscrit dans le cadre du « remplacisme global ». IdeoChoc propose de revenir sur ce concept aussi polémique que structurant dans les débats contemporains.
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